La Commission européenne approuve l’utilisation élargie de STELARA® (ustekinumab) de Janssen pour le traitement des enfants atteints de psoriasis en plaques modéré à sévère

L’utilisation étendue de l’ustekinumab répond à un besoin élevé non satisfait chez les enfants âgés de 6 à 11 ans atteints de psoriasis en plaques modéré à sévère, pour lesquels les options de traitement biologique sont limitées

BEERSE, Belgique–(BUSINESS WIRE)–Les sociétés pharmaceutiques Janssen de Johnson & Johnson annoncent aujourd’hui que la Commission européenne (CE) a approuvé l’utilisation étendue de STELARA® (ustekinumab) pour le traitement des patients pédiatriques (6-11 ans) atteints de psoriasis en plaques modéré à sévère. L’ustekinumab a déjà été approuvé pour le traitement des adolescents et des adultes âgés de 12 ans et plus atteints de psoriasis en plaques. Il s’agit désormais du premier traitement biologique disponible pour ce groupe de patients qui s’attaque de manière sélective à la voie IL-23/IL-12, une cible thérapeutique importante pour cette affection.1

Dans un tiers des 14 millions de cas recensés en Europe, le psoriasis commence dès l’enfance.2,3 Le psoriasis est une maladie inflammatoire à médiation immunitaire qui affecte la peau et qui se traduit par des zones de peau rouge ou enflammée couvertes de squames argentées, appelées plaques.2 Cette pathologie peut avoir un impact profond et à long terme sur la santé psychologique et la qualité de vie globale des enfants.3,4 Le développement du psoriasis pédiatrique est également associé à une forte incidence d’une faible estime de soi, et il peut avoir des ramifications à long terme jusqu’à l’âge adulte et au-delà.5

« Cette nouvelle approbation de la CE constitue un jalon important pour les jeunes enfants qui luttent contre les symptômes du psoriasis »,a déclaré Lloyd Miller, vice-président, responsable du domaine des maladies immuno-dermatologiques chez Janssen Research & Development, LLC. « Nous sommes ravis que cette thérapie, qui a un profil de sécurité et d’efficacité bien établi chez les adultes atteints de psoriasis en plaques et d’autres maladies immunitaires, soit maintenant étendue aux enfants de six ans seulement qui vivent avec cette maladie chronique. »

L’approbation de la CE est basée sur les résultats de l’étude CADMUS Jr de Phase 3, s’appuyant sur l’étude CADMUS de Phase 3 précédente, qui a montré que l’ustekinumab améliorait les signes et les symptômes du psoriasis en plaques, ainsi que la qualité de vie liée à la santé (QVLS), chez les patients pédiatriques âgés de 6 à 11 ans.6,7,8,9,10 Le critère d’évaluation principal était la proportion de patients ayant obtenu un score d’évaluation globale du médecin (PGA) de Normal (0) ou Minimal (1) à la semaine 12. Les critères d’évaluation secondaires comprenaient la proportion de patients ayant présenté une amélioration de l’indice de surface et de gravité du psoriasis ≥75 % (PASI 75), ≥90 % (PASI 90), et une variation par rapport aux valeurs initiales de l’indice dermatologique de qualité de vie des enfants (CDLQI)* à la semaine 12.8

Dans cette étude, 44 patients (âgés de 6 à 11 ans) de neuf pays ont été recrutés et traités avec au moins une injection d’ustekinumab. Au départ, la durée moyenne du psoriasis était de 3,5 ans (écart-type 2,49). À la semaine 12, les sujets traités par l’ustekinumab ont montré des améliorations cliniquement significatives de leur psoriasis et de leur QVLS. À la semaine 12, 77,3 % (intervalle de confiance [IC] de 95 % : 62,2 %, 88,5 %) avec un PGA 0/1, 84,1 % (IC de 95 % : 69,9 %, 93,4 %) ont atteint un PASI 75, et 63,6 % (IC de 95 % : 47,8 %, 77,6 %) un PASI 90. Le changement moyen par rapport à la base de référence du CDLQI était de -6,3 (IC de 95 % : -8,29 ; -4,28, la moindre valeur étant la meilleure). Tous les patients ont été suivis jusqu’à 52 semaines après la première administration d’ustekinumab. Les améliorations du PGA 0/1, du PASI 75, du PASI 90 et du CDLQI se sont maintenues jusqu’à la semaine 52 (75,6 %, 87,7 %, 70,7 % et 58,3 %, respectivement).6,7

Les données d’innocuité de CADMUS Jr étaient conformes aux profils d’innocuité connus figurant sur les notices d’utilisation actuelles respectives et l’ustekinumab était généralement bien toléré par les patients pédiatriques atteints de psoriasis en plaques. Dans l’ensemble, 34 patients ont présenté plus d’un événement indésirable (EI [77,3 %]) et trois ont présenté plus d’un EI grave (6,8 %). Un patient a présenté une infection grave (mononucléose), 29 ont contracté des infections (65,9 %) et 12 ont présenté des infections nécessitant un traitement (27,3 %). En général, les EI et autres données de sécurité signalés jusqu’à un an dans deux études pédiatriques (CADMUS et CADMUS Jr) étaient similaires à ceux observés dans des études antérieures chez des adultes atteints de psoriasis en plaques.6,7,11,12,13

Cette autorisation de mise sur le marché fait suite à un avis positif du Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA), rendu le 12 décembre 2019.

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Principales définitions

*L’indice dermatologique de qualité de vie des enfants est un questionnaire en 10 points conçu pour mesurer l’impact de toute maladie de la peau sur la vie des enfants. Un score de 0 à 1 indique un impact nul, tandis qu’un score ≥19 indique un impact extrêmement important. Une réduction de ce score équivaut à une réduction de l’impact sur la vie de l’enfant.14

À propos du psoriasis

De quoi s’agit-il ?

Le psoriasis est une maladie inflammatoire à médiation immunitaire qui se manifeste sur la peau.15 La forme la plus courante de psoriasis est le psoriasis en plaques, qui se traduit généralement par des zones de peau rouge ou enflammée recouvertes de squames argentées, appelées plaques.16 En raison de la nature fluctuante du psoriasis, les patients restent toujours dans la crainte d’une réapparition des plaques, même lorsque celles-ci semblent avoir disparu.15

Impact

Le psoriasis peut représenter un énorme fardeau physique et psychologique. Les problèmes de santé mentale sont courants chez les personnes atteintes de psoriasis, et l’impact qu’ils peuvent avoir sur la qualité de vie est comparable à celui du diabète et du cancer.4 Le psoriasis est également associé à plusieurs comorbidités, notamment l’arthrite psoriasique, les maladies cardiovasculaires, le syndrome métabolique, la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) et l’ostéoporose.17 Par ailleurs, de nombreuses personnes sont confrontées à l’exclusion sociale, à la discrimination et à la stigmatisation en raison de leur maladie.18 Les enfants sont un groupe de patients particulièrement vulnérables, et des études montrent que le psoriasis a un effet profondément perturbateur sur le développement des relations sociales et la vie scolaire.19

À propos du programme CADMUS

CADMUS Jr est une étude ouverte, multicentrique de Phase 3 comprenant 44 participants âgés de 6 à 11 ans, qui a été lancée après la réussite de l’étude CADMUS impliquant des patients âgés de 12 à 17 ans. L’étude comprenait un seul groupe dans lequel les patients ont reçu une injection d’ustekinumab par voie sous-cutanée aux semaines 0, 4, 16, 28 et 40. La dose d’ustekinumab administrée dépendait du poids du participant, à savoir : les participants dont le poids était <60 kg ont reçu 0,75 mg/kg d'ustekinumab ; les participants dont le poids était ≥60 kg et à ≤100 kg ont reçu 45 mg d'ustekinumab ; les participants pesant plus de 100 kg ont reçu 90 mg d'ustekinumab. Après la visite de la semaine 52, les participants ayant répondu favorablement au traitement par l'ustekinumab, selon l'investigateur, et qui n'avaient pas encore atteint l'âge de 12 ans ou plus dans les pays où l'autorisation de mise sur le marché de l'ustekinumab a été accordée pour le traitement du psoriasis chez les participants adolescents (12-17 ans), et qui étaient prêts à poursuivre le traitement par l'ustekinumab, pouvaient entrer dans la période de prolongation à long terme (de la semaine 56 à la semaine 264) de l'étude. L'étude s'est essentiellement terminée en décembre 2017 et la période de prolongation à long terme est en cours.8

CADMUS est une étude multicentrique, randomisée, en double aveugle et de Phase 3 comprenant 110 participants âgés de 12 à 17 ans. L’étude comprenait trois groupes : le groupe ustekinumab à dose normale, le groupe ustekinumab à demi-dose normale et le groupe placebo. Dans le groupe à dose normale (0,75 mg/kg, 45 mg ou 90 mg [selon le poids corporel]), les patients ont reçu une injection d’ustekinumab par voie sous-cutanée aux semaines 0, 4, 16, 28 et 40, et une injection de placebo par voie sous-cutanée aux semaines 0 et 4 ou à la semaine 12. Dans le groupe ayant reçu la demi-dose normale (0,375 mg/kg, 22,5 mg ou 45 mg [selon le poids corporel]), les patients ont reçu une injection d’ustekinumab par voie sous-cutanée aux semaines 0, 4, 16, 28 et 40, et un placebo par voie sous-cutanée aux semaines 0 et 4 ou à la semaine 12. Dans le groupe placebo, les patients ont reçu une injection de placebo par voie sous-cutanée aux semaines 0 et 4 ou à la semaine 12, suivie d’une injection d’ustekinumab à la demi-dose normale ou la dose normale aux semaines 12, 16, 28 et 40. L’étude s’est terminée en janvier 2014.9

Le critère d’évaluation principal des deux études était le pourcentage de participants ayant obtenu un score PGA de Normal (0) ou Minimal (1) à la semaine 12. Les données d’innocuité de CADMUS Jr et de CADMUS étaient conformes aux profils d’innocuité connus figurant dans les notices d’utilisation actuelles respectives, et l’ustekinumab était généralement bien toléré par les enfants atteints de psoriasis en plaques. Dans l’ensemble, pour CADMUS Jr, 34 patients ont présenté plus d’un EI (77,3 %) et trois ont présenté plus d’un EI grave (6,8 %). Un patient a présenté une infection grave (mononucléose), 29 ont contracté des infections (65,9 %) et 12 ont présenté des infections nécessitant un traitement (27,3 %). Pour CADMUS, 90 patients (81,8 %) ont déclaré un EI, parmi lesquels 34,5 % ont déclaré une rhinopharyngite, 12,7 % une infection des voies respiratoires supérieures et 8,2 % une pharyngite. 74 (67,3 %) ont déclaré une infection et deux infections graves ont été signalées (pyélonéphrite et infection de l’oreille). En général, les EI et autres données de sécurité signalés jusqu’à un an dans les deux études sur des patients pédiatriques étaient similaires à ceux observés dans les études sur des adultes atteints de psoriasis en plaques.6,7,10,11,12,13

À propos de STELARA® (ustekinumab)6

Dans l’Union européenne (UE), l’ustekinumab est approuvé pour le traitement du psoriasis en plaques modéré à sévère chez les enfants et les adolescents de six ans et plus qui ne sont pas bien maîtrisés par d’autres thérapies systémiques ou photothérapies, ou qui y sont intolérants, et est également approuvé pour le traitement du psoriasis en plaques modéré à sévère chez les adultes non réactifs, présentant une contre-indication ou une intolérance à d’autres traitements systémiques, notamment la cyclosporine, le méthotrexate (MTX) ou le psoralène plus ultraviolet A. Outre le psoriasis, l’ustekinumab a également été approuvé dans l’UE pour le traitement de trois autres maladies à médiation immunitaire : la polyarthrite psoriasique, la maladie de Crohn (MC) et la colite ulcéreuse (CU).

L’ustekinumab est approuvé, seul ou en association avec le MTX, pour le traitement de la polyarthrite psoriasique active chez les patients adultes lorsque la réponse à un traitement antirhumatismal non biologique modificateur de la maladie s’est révélée insuffisante. L’ustekinumab est également approuvé pour le traitement des adultes atteints de CU modérée à sévèrement active ayant manifesté une réponse inadéquate ou une perte de réponse, ou présentant une intolérance à une thérapie conventionnelle ou à un produit biologique, ou encore en cas de contre-indications médicales à ces thérapies. En outre, l’ustekinumab est approuvé pour le traitement des patients adultes atteints de MC modérée à sévère ayant présenté une réponse inadéquate, une perte de réponse ou une intolérance à la thérapie conventionnelle ou à un antagoniste du TNF-alpha, ou présentant des contre-indications médicales à ces thérapies.

Les sociétés pharmaceutiques Janssen de Johnson & Johnson conservent les droits exclusifs de commercialisation de STELARA® à l’échelle mondiale.

Informations importantes relatives à l’innocuité6

Les EI les plus fréquents (> 5 %) dans les périodes contrôlées des études cliniques sur l’ustekinumab ont été la rhinopharyngite et les céphalées. La plupart ont été considérés comme légers et n’ont pas nécessité l’arrêt du traitement étudié. L’effet indésirable le plus grave qui a été signalé pour l’ustekinumab est une réaction d’hypersensibilité grave, y compris d’anaphylaxie. Le profil de sécurité global est similaire pour les patients adultes atteints de psoriasis, d’arthrite psoriasique, de MC et de CU.

Veuillez vous référer au Résumé des caractéristiques du produit pour connaître les informations de prescription complètes pour l’ustekinumab :

https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/stelara

À propos des sociétés pharmaceutiques Janssen de Johnson & Johnson

Chez Janssen, nous créons un avenir dans lequel la maladie appartiendra au passé. Nous sommes les sociétés pharmaceutiques de Johnson & Johnson. Nous travaillons sans relâche pour que cet avenir devienne une réalité pour les patients du monde entier, en luttant contre la maladie grâce à la science, en faisant preuve d’ingéniosité pour améliorer l’accès aux traitements et en combattant le désespoir du fond du cœur. Nous nous concentrons sur des domaines médicaux où nous pouvons avoir un impact majeur, à savoir les troubles cardiovasculaires et le métabolisme, l’immunologie, les maladies infectieuses et les vaccins, les neurosciences, l’oncologie et l’hypertension pulmonaire.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site www.janssen.com/emea. Suivez-nous sur www.twitter.com/JanssenEMEA.

Janssen-Cilag International NV, titulaire de l’autorisation de mise sur le marché de STELARA® dans l’UE, et Janssen Research & Development, LLC, font partie des sociétés pharmaceutiques Janssen de Johnson & Johnson.

Mises en garde concernant les énoncés prospectifs

Le présent communiqué de presse contient des « énoncés prospectifs » au sens de la loi Private Securities Litigation Reform Act de 1995 concernant le développement et la disponibilité potentielle dans l’UE de STELARA® (ustekinumab). Il est conseillé au lecteur de ne pas se fier indûment à ces énoncés prospectifs. Ces énoncés sont fondés sur les attentes actuelles à l’égard d’événements futurs. Si les suppositions sous-jacentes s’avèrent inexactes ou si des risques ou incertitudes, connus ou inconnus, se matérialisent, les résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes et projections de Janssen-Cilag International NV, de toute autre société pharmaceutique Janssen et/ou de Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes incluent, sans toutefois s’y limiter : les problèmes et incertitudes inhérents à la recherche et au développement de produits, dont l’incertitude quant au succès clinique et à l’obtention des autorisations réglementaires ; l’incertitude quant au succès commercial ; les difficultés et retards dans la fabrication ; la concurrence, y compris les progrès technologiques, les nouveaux produits et brevets obtenus par nos concurrents ; la contestation de brevets ; les préoccupations concernant l’efficacité ou l’innocuité de produits résultant de rappels de produits ou d’actions réglementaires ; les modifications des comportements et des habitudes d’achat des acheteurs de produits et services de soins de santé ; les modifications des lois et réglementations en vigueur, y compris les réformes en matière de soins de santé à travers le monde ; ainsi que les tendances envers la maîtrise des coûts des soins de santé. Une liste et des descriptions plus détaillées de ces risques, incertitudes et autres facteurs figurent dans le rapport annuel de Johnson & Johnson sur formulaire 10-K pour l’exercice clos au 30.12.18, y compris dans les sections intitulées « Cautionary Note Regarding Forward-Looking Statements » et « Item 1A. Risk Factors », dans le dernier rapport trimestriel déposé par la société sur formulaire 10-Q et dans les documents déposés ultérieurement par la société auprès de la Commission américaine des opérations de Bourse (la « SEC »). Des exemplaires de ces documents sont disponibles en ligne sur www.sec.gov, sur www.jnj.com ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Aucune des sociétés pharmaceutiques Janssen, ni Johnson & Johnson n’assume l’obligation de mettre à jour un quelconque énoncé prospectif suite à de nouvelles informations ou à des événements ou développements futurs.

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Références


1 Benson J, et al. Discovery and mechanism of ustekinumab. MAbs 2011;3:535–45.

2 Ortonne J and Prinz J. Alefacept: A novel and selective biologic agent for the treatment of chronic psoriasis. Eur J Dermatol 2004;14:41–5.

3 Bronckers I, et al. Psoriasis in children and adolescents: diagnosis, management and comorbidities. Paediatr Drugs 2015;17:373–84.

4 Bajorek Z, et al. The impact of long term conditions on employment and the wider UK economy. The Work Foundation 2016. Disponible à l’adresse : http://www.theworkfoundation.com/wp-content/uploads/2016/11/397_The-impact-of-long-term-conditions-on-the-economy.pdf. (dernière consultation en janvier 2020).

5 Salman A, et al. Impact of psoriasis in the quality of life of children, adolescents and their families: a cross-sectional study. An Bras Dermatol 2018;93:819–23.

6 European Medicines Agency. STELARA Summary of product characteristics. 2020. Disponible à l’adresse : https://www.medicines.org.uk/emc/product/4413/smpc. (dernière consultation en janvier 2020).

7 Phillip S, et al. Ustekinumab for the treatment of moderate-to-severe plaque psoriasis in paediatric patients. Presented at Skin Inflammation and Psoriasis International Network (SPIN), Paris, France, 25–27 avril 2019 (résumé d’affiche P025).

8 ClinicalTrials.gov. An efficacy, safety, and pharmacokinetics study of subcutaneously administered ustekinumab in the treatment of moderate to severe chronic plaque psoriasis in pediatric participants greater than or equal to 6 to less than 12 years of age (CADMUS Jr). Identifiant NCT02698475. Disponible à l’adresse : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT02698475. (dernière consultation en janvier 2020).

9 ClinicalTrials.gov. A study of the safety and efficacy of ustekinumab in adolescent patients with psoriasis (CADMUS). Identifiant NCT01090427. Disponible à l’adresse : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT01090427. (dernière consultation en janvier 2020).

10 Landells I, et al. Ustekinumab in adolescent patients age 12 to 17 years with moderate-to-severe plaque psoriasis: Results of the randomized phase 3 CADMUS study. J Am Acad Dermatol 2015;43:594–603.

11 Papp K, et al. Safety surveillance for ustekinumab and other psoriasis treatments from the Psoriasis Longitudinal Assessment and Registry (PSOLAR). J Drugs Dermatol 2015;14(7):706–14.

12 Leonardi C, et al. Efficacy and safety of ustekinumab, a human interleukin-12/23 monoclonal antibody, in patients with psoriasis: 76-week results from a randomised, double-blind, placebo-controlled trial (PHOENIX 1). Lancet 2008;371:1665–74.

13 Papp K, et al. Efficacy and safety of ustekinumab, a human interleukin-12/23 monoclonal antibody, in patients with psoriasis: 52-week results from a randomised, double-blind, placebo-controlled trial (PHOENIX 2). Lancet 2008;371:1675–84.

14 Cardiff University School of Medicine. Children’s Dermatology Life Quality Index. Disponible à l’adresse : https://www.cardiff.ac.uk/medicine/resources/quality-of-life-questionnaires/childrens-dermatology-life-quality-index. (dernière consultation en janvier 2020).

15 Clark RA. Resident memory T cells in human health and disease. Sci Transl Med 2015;7:269rv1.

16 British Skin Foundation. Psoriasis. Disponible à l’adresse : www.britishskinfoundation.org.uk/SkinInformation/AtoZofSkindisease/Psoriasis.aspx. (dernière consultation en janvier 2020).

17 Nijsten T and Wakkee M. Complexity of the association between psoriasis and comorbidities. J Invest Dermatol 2009;129:1601–3.

18 World Health Organization. Global Report on Psoriasis. 2016. Disponible à l’adresse : apps.who.int/iris/bitstream/10665/204417/1/9789241565189_eng.pdf. (dernière consultation en janvier 2020).

19 De Jager M, et al. The burden of childhood psoriasis. Pediatr Dermatol 2011;28:736–7.

CP-134948

Janvier 2020

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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