De nouvelles données démontrent les avantages à long terme d’IMBRUVICA® (ibrutinib) comme traitement de première ligne de la leucémie lymphoïde chronique à haut risque

L’ensemble des données d’essais cliniques d’IMBRUVICA® (ibrutinib) présentées lors du congrès de l’ASH 2020 démontrent une efficacité et une innocuité durables chez les patients dont les résultats sont historiquement défavorables

Les études de données de vie réelle présentées oralement mettent en évidence les avantages des thérapies de première ligne à base d’ibrutinib

BEERSE, Belgique–(BUSINESS WIRE)–Les sociétés pharmaceutiques Janssen de Johnson & Johnson ont annoncé aujourd’hui les résultats combinés des analyses de suivi à long terme de plusieurs essais cliniques évaluant l’utilisation d’IMBRUVICA® (ibrutinib) en monothérapie et en association comme traitement de première ligne pour les patients atteints de leucémie lymphoïde chronique (LLC) présentant des facteurs à haut risque. Ces données ont été présentées à l’occasion du congrès annuel 2020 de l’American Society of Hematology (ASH). Les résultats d’une analyse intégrée portant sur deux essais cliniques avec un suivi allant jusqu’à 79 mois (résumé n°2220)1 ont démontré des taux de survie sans progression (SSP) et de réponse globale (TRG) similaires avec l’ibrutinib chez les patients présentant ou non des caractéristiques génomiques à haut risque, et ont en outre révélé des avantages significatifs en termes de SSP et de TRG avec l’ibrutinib par rapport au traitement à base de chlorambucil, indépendamment des caractéristiques génomiques à risque. 1

Par ailleurs, les données avec un suivi médian de plus de quatre ans ont été présentées. Elles sont issues d’une analyse groupée de 89 patients atteints de LLC à haut risque présentant des anomalies de TP53, basée sur quatre essais cliniques confirmant l’efficacité soutenue du traitement de première ligne par ibrutinib, y compris en termes de SSP, ce qui suggère que l’ibrutinib a amélioré de manière significative le pronostic défavorable au sein de cette population à haut risque (résumé n°2219).2

« Ces vastes ensembles de données intégrées avec un suivi allant jusqu’à six ans, combinés aux autres données de populations similaires présentées lors du congrès, contribuent à l’accumulation de preuves démontrant l’intérêt clinique et à long terme de l’ibrutinib comme traitement de première ligne pour les patients atteints de LLC », a déclaré le Dr Craig Tendler, vice-président du développement avancé et des affaires médicales mondiales, Oncologie, Janssen Research & Development, LLC. « L’ibrutinib est un traitement standard approuvé dans le traitement de première ligne de la LLC, et les données présentées lors du congrès annuel de l’ASH confirment davantage la durabilité des réponses chez les patients atteints de LLC présentant des caractéristiques traditionnelles à haut risque. »

Deux études supplémentaires seront présentées lors des sessions orales, révélant des schémas de traitement ou des résultats de vie réelle chez des patients souffrant de LLC, traités hors du cadre d’un essai clinique. La première étude est une analyse rétrospective américaine décrivant les schémas de traitement et le temps jusqu’au prochain traitement (TTNT) chez des patients atteints de LLC à haut risque traités par ibrutinib ou chimio-immunothérapie (CIT) en première ligne (résumé n°372).3 Dans cette étude rétrospective américaine, la plus importante de ce type à ce jour, les patients atteints de LLC à haut risque traités en monothérapie par ibrutinib présentaient un TTNT nettement plus long que les patients traités par une CIT de première intention.3 Dans la deuxième présentation orale, les résultats du registre américain informCLL™ (résumé n°547) ont révélé une faible fréquence des tests de biomarqueurs pronostiques avant de commencer un traitement contre la LLC, ainsi qu’une utilisation restreinte de ces informations pour orienter le choix d’un traitement optimal pour de nombreux patients atteints de LLC à haut risque, ce qui laisse entrevoir un besoin de formation supplémentaire pour les prestataires de soins.4

Analyse intégrée des essais de Phase 3 RESONATE-2 et iLLUMINATE évaluant l’ibrutinib en première ligne chez des patients atteints de LLC et présentant des caractéristiques génomiques à haut risque avec un suivi allant jusqu’à 6,5 ans (résumé n°2220)1

Les données ont été présentées à partir d’une analyse combinée de deux études de Phase 3 (RESONATE-2 et iLLUMINATE) avec un suivi allant jusqu’à 79 mois, évaluant la thérapie à base d’ibrutinib dans le traitement de première ligne des patients atteints de LLC avec diverses caractéristiques génomiques à haut risque.1

Principales conclusions de l’étude :

  • Chez les patients traités à base d’ibrutinib, la SSP était comparable chez les patients présentant, ou non, des caractéristiques génomiques à haut risque déterminées, y compris la délétion 17p/mutation TP53/mutation CRBI3, à savoir la catégorie de risque la plus élevée.1
  • À 42 mois, les taux de SSP étaient significativement plus élevés dans tous les sous-groupes génomiques à haut risque chez les patients n’ayant jamais été traités avec un traitement à base d’ibrutinib (63 à 82 %) que chez les patients recevant un traitement à base de chlorambucil (6 à 34 %) avec ou sans obinutuzumab, indépendamment de la mutation.1
  • Au terme d’une durée médiane de 35,7 à 43,8 mois de traitement par ibrutinibdans les sous-groupes à haut risque, aucune différence significative n’a été observée dans les taux d’événements indésirables (EI) de tous grades, ou d’EI de grade 3 ou plus, par rapport à ceux de l’ensemble de la population.1

« Certaines anomalies et mutations génomiques sont des indicateurs de résultats inférieurs avec la chimio-immunothérapie chez les patients atteints de LLC », a déclaré Jan A. Burger,* DM, Ph.D., professeur, département de leucémie, division de médecine du cancer, The University of Texas MD Anderson Cancer Center, et chercheur principal de l’étude. « La chimio-immunothérapie reste courante dans la vie réelle même si des données montrent que les traitements par inhibiteurs de petites molécules comme l’ibrutinib ont donné de meilleurs résultats chez les patients à haut risque que la chimio-immunothérapie. »

« Depuis sa première autorisation européenne en 2014, l’ibrutinib a redéfini les paradigmes de traitement de la LLC, et ces résultats d’étude nous apportent des preuves supplémentaires des avantages et de la tolérabilité de l’ibrutinib pour les patients atteints de LLC », ajoute le Dr Catherine Taylor, vice-présidente de la stratégie thérapeutique des affaires médicales pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA) de Janssen-Cilag Ltd., Middle East. « Chez les patients atteints de LLC à haut risque, les possibilités de traitement ont considérablement évolué, l’ibrutinib continuant à jouer un rôle majeur dans la définition de la vie avec les variations génétiques de cette maladie, dont les pronostics sont historiquement défavorables. »

Vaste ensemble de données regroupées et issues de plusieurs études évaluant les avantages à long terme d’un traitement de première ligne à base d’ibrutinib chez des patients présentant des anomalies du TP53 avec un suivi allant jusqu’à quatre ans (résumé n°2219)2

Les données ont été présentées à partir d’une analyse combinée portant sur quatre études cliniques évaluant l’efficacité et l’innocuité à long terme d’un traitement de première ligne à base d’ibrutinib chez des patients atteints de LLC présentant des anomalies du TP53.2 Les quatre études étaient : RESONATE2 ; iLLUMINATE ; l’étude E1912 conçue et menée par le groupe de recherche sur le cancer ECOG-ACRIN (ECOG-ACRIN) et subventionnée par le National Cancer Institute (NCI), rattaché aux National Institutes of Health (NIH) ; et l’étude 1122e subventionnée par le National Heart, Lung, and Blood Institute (NHLBI).2

Principales conclusions de l’étude :

  • Avec un suivi médian de 50 mois, la SSP médiane n’a pas été atteinte (IC 95% : de 67 mois à non estimable).2 À 48 mois, le taux de SSP était de 79 % et le taux de SG de 88 % chez les patients à haut risque traités par ibrutinib en monothérapie.2
  • Par ailleurs, 46 % des patients présentant des anomalies du TP53 ont continué leur traitement par ibrutinib et 39 % ont connu une réponse complète.2
  • Aucun nouveau facteur d’innocuité n’a été identifié dans le cadre de l’analyse et, en général, les taux d’EI de grade ≥3 d’intérêt clinique ont régressé après la première année de traitement par ibrutinib.2

Résultats cliniques chez des patients de la vie réelle atteints de LLC ayant débuté un traitement de première ligne par ibrutinib ou une chimio-immunothérapie, répartis selon le statut de risque : résultats d’une étude rétrospective américaine sur l’examen des dossiers (résumé n°372)3

Présentation orale des données d’une vaste étude en contexte de vie réelle comparant les résultats cliniques (TTNT) chez des patients à haut risque et à risque non élevé atteints de LLC et recevant de l’ibrutinib par rapport à la CIT en première intention.3

Principales conclusions de l’étude :

  • Les données présentées ont révélé que les patients à haut risque recevant de l’ibrutinib prolongeaient significativement le TTNT par rapport à ceux traités par CIT.3
  • L’ibrutinib a aussi procuré un avantage clinique durable, quel que soit le statut de risque, ce qui concorde avec les résultats des essais cliniques.5,6,7
  • Cette étude a mis en évidence la nécessité d’effectuer des tests cytogénétiques/moléculaires avant de recourir au traitement par CIT, conformément aux directives de traitement clinique.8,9

Test de biomarqueurs pronostiques en vie réelle, méthodes de traitement et posologie chez les patients atteints de LLC provenant d’observations prospectives du registre informCLL™ (résumé n°547)

Le lundi 7 décembre, une présentation orale exposera les résultats des observations prospectives du registre informCLL™ qui évalue les modèles de traitement à l’ère des nouveaux agents.4

Principales conclusions de l’étude :

  • Le traitement de référence le plus fréquent était l’ibrutinib ; la majorité des patients traités par ibrutinib sont restés sous traitement après un suivi de deux ans ; et un tiers des patients ont également eu recours à la CIT.4
  • Les données ont également démontré un faible taux de tests de biomarqueurs pronostiques, en particulier pour les biomarqueurs TP53 et IGHV.4
  • Les données du registre informCLL™ révèlent également un « manque de connaissances » en termes de tests de marqueurs pronostiques, d’interprétation et de sélection des thérapies optimales pour les patients atteints de la maladie à haut risque.4

*Jan A. Burger est le chercheur principal de l’étude et n’a perçu aucune rémunération pour son travail médiatique

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À propos de l’ibrutinib

L’ibrutinib est un inhibiteur de premier ordre de la tyrosine kinase (BTK) de Bruton, à administrer une fois par jour par voie orale et est développé et commercialisé conjointement par Janssen Biotech, Inc. et Pharmacyclics LLC, une société d’AbbVie.10 L’ibrutinib bloque la protéine BTK ; la protéine BTK envoie des signaux importants qui indiquent aux cellules B de mûrir et de produire des anticorps. La signalisation de la BTK est nécessaire à la multiplication et à la propagation de certaines cellules cancéreuses.11 En bloquant la BTK, l’ibrutinib peut aider à éliminer les cellules B anormales de leur environnement nutritif dans les ganglions lymphatiques, la moelle osseuse et d’autres organes.12

L’ibrutinib est actuellement homologué en Europe pour les cas suivants :10

  • Leucémie lymphoïde chronique (LLC) : en monothérapie ou en association avec le rituximab ou l’obinutuzumab pour le traitement des patients adultes atteints d’une LLC non traitée précédemment, et en monothérapie ou en association avec la bendamustine et le rituximab (BR) pour le traitement des patients adultes atteints de LLC ayant reçu au moins un traitement antérieur
  • Lymphome à cellule du manteau (LCM) : en monothérapie pour le traitement des patients adultes atteints de LCM récidivante ou réfractaire
  • Macroglobulinémie de Waldenström (MW) : en monothérapie pour le traitement des patients adultes ayant reçu au moins un traitement antérieur ou en traitement de première ligne pour les patients inaptes à la chimio-immunothérapie, et en association avec le rituximab pour le traitement des patients adultes

L’ibrutinib est approuvé dans plus de 100 pays pour au moins une indication et, à ce jour, il a été utilisé pour traiter plus de 200 000 patients à travers le monde.13

Le résumé des caractéristiques du produit contient une liste complète des effets secondaires et des informations détaillées sur la posologie et l’administration, les contre-indications et autres précautions lors de l’utilisation de l’ibrutinib.

À propos de la leucémie lymphoïde chronique

La leucémie lymphoïde chronique (LLC) est typiquement un cancer des globules blancs du sang à évolution lente.14 L’incidence globale de la LLC en Europe est d’environ 4,92 cas pour 100 000 personnes par an et elle est environ 1,5 fois plus fréquente chez les hommes que chez les femmes.15 La LLC est une maladie qui affecte principalement les personnes âgées, avec un âge médian de 72 ans au moment du diagnostic.16

La maladie évolue avec le temps chez la majorité des patients ; à chaque rechute, ils sont confrontés à des options thérapeutiques de plus en plus limitées. Les patients se voient souvent prescrire plusieurs traitements à mesure qu’ils rechutent ou deviennent résistants aux traitements.

À propos des sociétés pharmaceutiques Janssen de Johnson & Johnson

Chez Janssen, nous créons un avenir dans lequel la maladie appartiendra au passé. Nous sommes les sociétés pharmaceutiques Janssen de Johnson & Johnson. Nous travaillons sans relâche pour que cet avenir devienne une réalité pour les patients du monde entier, en luttant contre la maladie grâce à la science, en faisant preuve d’ingéniosité pour améliorer l’accès aux traitements, et en combattant le désespoir avec toute notre volonté. Nous nous concentrons sur les domaines médicaux où nous pouvons avoir un impact majeur, à savoir les troubles cardiovasculaires et le métabolisme, l’immunologie, les maladies infectieuses et les vaccins, la neuroscience, l’oncologie et l’hypertension pulmonaire. Plus d’informations sur le site www.janssen.com/emea. Suivez toute notre actualité sur www.twitter.com/janssenEMEA. Janssen Biotech, Inc. ; Janssen-Cilag Ltd., Middle East ; et Janssen Research & Development, LLC font partie des sociétés pharmaceutiques Janssen de Johnson & Johnson.

Mises en garde concernant les déclarations prospectives

Le présent communiqué de presse contient des « déclarations prospectives », telles que définies dans le Private Securities Litigation Reform Act de 1995, portant sur le développement produit, les bénéfices potentiels et les effets du traitement par ibrutinib. Le lecteur est invité ne pas se fier indûment à ces déclarations prospectives. Celles-ci sont basées sur les attentes actuelles d’évènements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s’avèrent inexactes ou que des risques ou incertitudes connu(e)s ou inconnu(e)s se matérialisent, les résultats réels pourraient présenter un écart sensible par rapport aux attentes et prévisions de Janssen Pharmaceutica NV, des sociétés pharmaceutiques Janssen et/ou Johnson & Johnson. Ces risques et incertitudes incluent, mais sans s’y limiter : les défis et incertitudes inhérents à la recherche et au développement des produits, dont l’incertitude relative à la réussite clinique et à l’obtention des approbations réglementaires ; l’incertitude relative à la réussite commerciale ; les difficultés et retards de fabrication ; la concurrence, dont les avancées technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par des concurrents ; les défis relatifs aux brevets ; les préoccupations relatives à l’efficacité ou à l’innocuité du produit aboutissant à des rappels de produits ou à des mesures réglementaires ; des changements de comportement et des habitudes de dépense relatives aux produits et services de santé ; les changements dans la législation et la réglementation applicables, dont les réformes de santé globales ; ainsi que les tendances en matière de maîtrise des dépenses de santé. Une liste et des descriptions supplémentaires de ces risques, incertitudes et autres facteurs peut être consultée dans le rapport annuel de Johnson & Johnson, sur le formulaire 10-K de l’exercice clos au 29 décembre 2019, notamment dans les sections intitulées « Note d’avertissement relative aux déclarations prospectives » et « Article 1A. Facteurs de risque », ainsi que sur le formulaire 10-Q du rapport trimestriel le plus récent et sur les autres dépôts de la société auprès de la Securities and Exchange Commission. Des copies de ces dépôts sont disponibles en ligne sur www.sec.gov, www.jnj.com ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Aucune des sociétés pharmaceutiques Janssen ni Johnson & Johnson ne s’engage nullement à mettre à jour des déclarations prospectives que ce soit suite à de nouvelles informations, ou événements ou développements futurs.

Références

1 Burger JA. et al. Outcomes of first-line ibrutinib in patients with chronic lymphocytic leukemia/small lymphocytic lymphoma (CLL/SLL) and high-risk genomic features with up to 6.5 years follow-up: integrated analysis of two phase 3 studies (RESONATE-2 and iLLUMINATE). Congrès annuel 2020 de l’American Society of Hematology. Décembre 2020.

2 Allan JN. et al. Long-term efficacy of first-line ibrutinib treatment for chronic lymphocytic leukemia (CLL) with 4 years of follow-up in patients with TP53 aberrations (del(17p) or TP53 mutation): a pooled analysis from 4 clinical trials. Congrès annuel 2020 de l’American Society of Hematology. Décembre 2020.

3 Lori LA. et al. Clinical outcomes among real-world patients with chronic lymphocytic leukemia (CLL) initiating first-line ibrutinib or chemoimmunotherapy stratified by risk status: results from a US retrospective chart review study. Congrès annuel 2020 de l’American Society of Hematology. Décembre 2020.

4 Mato A. et al. Real-world prognostic biomarker testing, treatment patterns and dosing among 1461 patients (pts) with chronic lymphocytic leukemia/small lymphocytic lymphoma (CLL/SLL) from the informCLL™ prospective observational registry. Congrès annuel 2020 de l’American Society of Hematology. Décembre 2020.

5 Woyach JA. et al. Ibrutinib Regimens versus Chemoimmunotherapy in Older Patients with Untreated CLL. The New England Journal of Medicine. 2018; 379:2517-2528.

6 Moreno C. et al. Ibrutinib plus obinutuzumab versus chlorambucil plus obinutuzumab in first-line treatment of chronic lymphocytic leukaemia (iLLUMINATE): a multicentre, randomised, open-label, phase 3 trial. Lancet Oncology. 2019; 20:43-56.

7 Shanafelt TD. et al. Ibrutinib-Rituximab or Chemoimmunotherapy for Chronic Lymphocytic Leukemia. The New England Journal of Medicine. 2019; 381:432-443.

8 Weirda WG. et al. Chronic Lymphocytic Leukemia/Small Lymphocytic Lymphoma, Version 4.2020, NCCN Clinical Practice Guidelines in Oncology. Journal of the National Comprehensive Cancer Network. Fév. 2020;18(2):185-217.

9 Hallek M. et al. iwCLL guidelines for diagnosis, indications for treatment, response assessment, and supportive management of CLL. Blood. 2018; 131:2745-2760.

10 Résumé des caractéristiques du produit de l’Imbruvica, janvier 2020. Disponible à l’adresse suivante https://www.ema.europa.eu/documents/product-information/imbruvica-epar-product-information_en.pdf. Dernière consultation en décembre 2020.

11 Turetsky, A, et al. Single cell imaging of Bruton’s Tyrosine Kinase using an irreversible inhibitor. Scientific Reports. volume 4, Article number: 4782 (2014).

12 de Rooij MF, Kuil A, Geest CR, et al. The clinically active BTK inhibitor PCI-32765 targets B-cell receptor- and chemokine-controlled adhesion and migration in chronic lymphocytic leukemia. Blood. 2012;119(11):2590-2594.

13 Janssen, données au dossier (EMEA-SR-1492). Nombre cumulé mondial de patients traités par ibrutinib depuis son lancement. Juillet 2020.

14 American Cancer Society. What is chronic lymphocytic leukemia? Disponible à l’adresse suivante https://www.cancer.org/cancer/chronic-lymphocytic-leukemia/about/what-is-cll.html. Dernière consultation en décembre 2020.

15 Sant M, Allemani C, Tereanu C, et al. Incidence of hematologic malignancies in Europe by morphologic subtype: results of the HAEMACARE project. Blood. 2010;116:3724–34.

16 Eichhorst B, Robak T, Montserrat E, et al. Chronic lymphocytic leukaemia: ESMO Clinical Practice Guidelines for diagnosis, treatment and follow-up. Ann Oncol. 2015;26(Suppl.5):v78-v84.

CP-194656

Décembre 2020

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