Janssen : les nouvelles données de l’étude CHRYSALIS sur l’amivantamab révèlent une activité clinique soutenue et des réponses durables chez les patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules métastatique ou non résécable…

Les données présentées ont été soumises aux autorités réglementaires de l’UE et des États-Unis et constituent une étape importante dans la réponse au besoin élevé non satisfait de cette population de patients

BEERSE, Belgique–(BUSINESS WIRE)–
Janssen : les nouvelles données de l’étude CHRYSALIS sur l’amivantamab révèlent une activité clinique soutenue et des réponses durables chez les patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules métastatique ou non résécable avec mutations d’insertion de l’EGFR sur l’exon 20

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Les sociétés pharmaceutiques Janssen de Johnson & Johnson annoncent ce jour de nouvelles données de l’étude de Phase 1 CHRYSALIS visant à évaluer l’amivantamab chez des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) métastatique ou non résécable avec des mutations d’insertion de l’exon 20 du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) et dont la maladie a progressé pendant ou après une chimiothérapie à base de platine.1 Ces données ont été présentées pour la première fois à l’occasion de la Conférence mondiale sur le cancer du poumon (WCLC) 2020 organisée à Singapour par l’Association internationale pour l’étude du cancer du poumon (IASLC). Les principaux résultats obtenus ont montré une activité soutenue et des réponses durables avec un profil d’innocuité tolérable et gérable (Résumé #3031) chez des patients atteints d’un CPNPC causé par des mutations d’insertion de l’exon 20 de l’EGFR – mutation pour laquelle il n’existe actuellement aucune thérapie ciblée.1,2,3

L’amivantamab est un anticorps humain bispécifique expérimental de l’EGFR et du MET ayant une activité de direction des cellules immunitaires qui cible l’activation et la résistance aux mutations et amplifications EGFR et MET.4,5,6,7 Janssen a déposé des demandes d’autorisation en Europe et aux États-Unis pour l’amivantamab en vue de traiter les patients atteints d’un CPNPC muté par insertion de l’exon 20 de l’EGFR et dont la maladie a progressé pendant ou après une chimiothérapie à base de platine.8,9 Ces soumissions représentent les toute premières demandes réglementaires pour un traitement des patients atteints d’un CPNPC muté par insertion de l’exon 20 de l’EGFR.10

« Il existe un besoin important de nouvelles options de traitement pour les patients atteints de CPNPC et de mutations d’insertion de l’exon 20 de l’EGFR, dont la maladie ne répond habituellement pas bien à la chimiothérapie et aux inhibiteurs de la tyrosine kinase utilisés pour traiter d’autres mutations de l’EGFR » explique le Dr Joshua K. Sabari, du Perlmutter Cancer Centre de l’Université de New York Langone. « Les résultats de l’étude CHRYSALIS présentés aujourd’hui démontrent le potentiel que présente l’amivantamab pour répondre à ce besoin critique non satisfait et apporter un bénéfice clinique significatif aux patients ».

Au cours de cette analyse de l’étude CHRYSALIS de Phase 1, les chercheurs ont évalué l’efficacité et l’innocuité de l’amivantamab chez des patients atteints de CPNPC et présentant des mutations d’insertion de l’exon 20 de l’EGFR qui avaient progressé lors d’une chimiothérapie antérieure à base de platine et qui ont été traités à la dose recommandée de Phase 2 (RP2D de 1050 mg [1400 mg pour les patients de poids ≥80 kg] d’amivantamab).1 Le principal critère d’évaluation était la réponse à la maladie en utilisant le taux de réponse global (TRG), sur la base des Critères d’évaluation des réponses dans les tumeurs solides, version 1.1* (RECIST v1.1).1 Les autres critères d’évaluation comprenaient la durée de réponse (DR), le taux de bénéfice clinique (TBC), la survie sans progression (SSP) et la survie globale (SG).1,11 Au sein de la cohorte d’efficacité post-platine (n=81), le TRG évalué en aveugle par le comité d’examen indépendant central était de 40 % (n=32, 95 % IC, 29 – 51), trois patients (4 %) ayant présenté une réponse complète et 29 patients (36 %) une réponse partielle (RP).1 Les réponses étaient durables, avec une durée médiane de 11,1 mois (95 % IC, 6,9 – non atteint), 63 % (n=20/32) présentant une réponse d’une durée de six mois ou plus.1 La durée médiane de SSP était de 8,3 mois (95 % IC, 6,5 – 10,9) et la survie globale médiane était de 22,8 mois (95 % IC, 14,6 – non atteint).1 Le taux de bénéfice clinique (≥RP ou maladie stable ≥11 semaines) était de 74 % (95 % IC, 63 – 83).1

Parmi les patients traités à l’amivantamab en monothérapie (n=114) à la RP2D, les effets indésirables (EI) les plus fréquents durant le traitement ont été les éruptions cutanées (86 %), les réactions liées à la perfusion (RLP, 66 %) et la paronychie (45 %).1 Les autres EI signalés comprenaient la stomatite (21 %) et le prurit (17 %).1 Des EI de grade ≥3 ont été signalés chez 35 % des patients, dont 16 % ont été considérés comme associés au traitement, les éruptions cutanées (4 %) et les RLP (3 %) étant les plus fréquents.1 Aucun décès lié au traitement n’a été signalé.1 L’incidence des EI liés au traitement ayant mené à une réduction de la dose et à l’arrêt du traitement était de 13 % et de 4 %, respectivement.1

« Les données présentées aujourd’hui démontrent une nouvelle fois le potentiel de l’amivantamab en tant que thérapie ciblée pour une population de patients porteurs d’une mutation très résistante et qui ont un besoin urgent de nouvelles options thérapeutiques » a déclaré le Dr Joaquín Casariego, chef du domaine thérapeutique Oncologie pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique chez Janssen-Cilag, S.A. « Nous sommes déterminés à explorer de manière plus approfondie le rôle que cette innovation est susceptible de jouer pour répondre au besoin non satisfait de nombreux autres patients et de leurs familles ».

Les mutations de l’EGFR, qui causent des tumeurs en provoquant une croissance et une division non contrôlées des cellules cancéreuses,12 sont parmi les plus courantes du CPNPC.13 Les mutations d’insertion de l’exon 20 de l’EGFR sont le troisième type de mutations EGFR primaires en termes de prévalence et représentent 3,7 à 10 % de l’ensemble des mutations de l’EGFR. 3,14 Souvent, ces mutations ne sont pas détectées en raison du recours limité aux tests de séquençage de prochaine génération (NGS).2,15 D’autres données commandées par Janssen et présentées à la Conférence WCLC (Résumé #3399) ont révélé que les tests génétiques par réaction en chaîne de la polymérase (PCR) ne détecteraient pas 50 % ou plus des tumeurs présentant des mutations de l’exon 20 de l’EGFR.16

Une courte présentation orale commandée par Janssen et donnée à la Conférence WCLC (Résumé #3390) insiste sur la nécessité de nouveaux traitements, car le cancer provoqué par des mutations d’insertion de l’exon 20 de l’EGFR ne répond généralement pas aux traitements par ITK de l’EGFR autorisés et présente un pronostic moins favorable comparé à un cancer causé par des mutations plus courantes de l’EGFR, telles les délétions de l’exon 19 ou substitutions du L858R.17 Après un suivi médian de 34 mois, les patients porteurs de mutations d’insertion de l’exon 20 de l’EGFR présentaient un risque de décès 75 % plus élevé. L’étude a également établi que le taux de survie à cinq ans pour les mutations d’insertion de l’exon 20 est de 8 %, contre 19 % pour les autres mutations de l’EGFR.17

Janssen a déposé une demande d’autorisation de mise sur le marché (AMM) pour l’amivantamab auprès de l’Agence européenne des médicaments (EMA) en décembre 2020.9 Le programme de développement clinique de l’amivantamab dans le traitement du CPNPC avancé non traité avec mutations de l’EGFR inclut les essais de combinaison MARIPOSA et PAPILLON de Phase 3.18,19

*RECIST (version 1.1) désigne les critères d’évaluation des réponses dans les tumeurs solides, qui sont une méthode standardisée pour mesurer comment les tumeurs solides répondent à un traitement et indiquent si les tumeurs rétrécissent, gardent la même taille ou grandissent.20

À propos de l’étude de Phase 1 CHRYSALIS21

CHRYSALIS (NCT02609776) est la première étude multicentrique et ouverte chez l’homme visant à évaluer l’innocuité, la pharmacocinétique et l’efficacité préliminaire de l’amivantamab en monothérapie et en association avec le lazertinib ou la chimiothérapie pour le traitement du CPNPC**. L’étude prévoit le recrutement de 460 patients atteints d’un CPNPC avancé. L’étude comporte deux parties. La première partie consiste en une monothérapie à l’amivantamab et des augmentations de dose en combinaison et la seconde partie consiste en une monothérapie à l’amivantamab et des augmentations de dose en combinaison et des extensions.

**En 2018, Janssen a signé un accord de licence et de collaboration avec Yuhan Corporation pour le développement du lazertinib.

À propos d’amivantamab

L’amivantamab est un anticorps humain bispécifique EGFR-MET expérimental ayant une activité de direction des cellules immunitaires qui cible l’activation et la résistance aux mutations EGFR et aux mutations et amplifications MET. 4,5,6,7 L’amivantamab est étudié en monothérapie chez les patients présentant des mutations d’insertion de l’exon 20 de l’EGFR. L’amivantamab est également étudié en combinaison avec le lazertinib, un ITK de troisième génération,22 chez les patients adultes atteints d’un CPNPC avancé.21 La production et le développement de l’anticorps ont suivi l’accord de licence de Janssen Biotech, Inc. avec Genmab pour l’utilisation de sa plateforme technologique DuoBody®.

À propos du cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC)

En Europe, on estime que plus de 470 000 cas de cancer du poumon ont été diagnostiqués en 2018, dont environ 85 % de CPNPC.23,24 Le cancer du poumon est le principal facteur de mortalité par cancer en Europe, dépassant en nombre de décès le cancer du sein et le cancer de la prostate réunis.25 Les principaux sous-types de CPNPC sont l’adénocarcinome, le carcinome épidermoïde et le carcinome à grandes cellules.26 Parmi les mutations pilotes les plus courantes du CPNPC figurent les altérations de l’EGFR, qui est un récepteur de la tyrosine kinase qui contribue à la croissance et à la division des cellules.12 Les mutations EGFR sont présentes chez 10-15 % des patients atteints d’adénocarcinome lié à un CPNPC, et 40-50 % des patients asiatiques.27 Le taux de survie à cinq ans de tous les patients atteints de CPNPC métastatique et de mutations de l’EGFR traités par ITK de l’EGFR est inférieur à 20 %.28,29 La survie globale médiane estimée pour les patients atteints d’un CPNPC et présentant des mutations d’insertion de l’exon 20 de l’EGFR est plus courte que chez les patients présentant des délétions de l’exon 19 ou des substitutions du L858R.28

À propos des sociétés pharmaceutiques Janssen de Johnson & Johnson

Chez Janssen, nous créons un avenir dans lequel la maladie appartiendra au passé. Nous sommes les sociétés pharmaceutiques Janssen de Johnson & Johnson. Nous travaillons sans relâche pour que cet avenir devienne une réalité pour les patients du monde entier, en luttant contre la maladie grâce à la science, en faisant preuve d’ingéniosité pour améliorer l’accès aux traitements, et en luttant contre le désespoir de toutes nos forces. Nous nous concentrons sur les domaines médicaux où nous pouvons avoir un impact majeur, à savoir les troubles cardiovasculaires et le métabolisme, l’immunologie, les maladies infectieuses et les vaccins, la neuroscience, l’oncologie et l’hypertension pulmonaire.

Pour en savoir plus, consultez www.janssen.com/emea/. Suivez toute notre actualité sur www.twitter.com/JanssenEMEA. Janssen Research & Development, LLC, Janssen-Cilag, S.A. et Janssen Biotech, Inc. font partie du groupe de sociétés pharmaceutiques Janssen de Johnson & Johnson.

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DuoBody® est une marque déposée de Genmab A/S.

Mises en garde concernant les déclarations prospectives

Ce communiqué de presse contient des « déclarations prospectives » telles que définies dans le Private Securities Litigation Reform Act de 1995 concernant le développement de produits, les bénéfices potentiels et l’effet d’un traitement à l’amivantamab. Le lecteur est invité à ne pas se fier indûment à ces déclarations prospectives. Ces déclarations sont fondées sur les attentes actuelles à l’égard d’événements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s’avèrent inexactes ou si des risques ou incertitudes connus ou inconnus se matérialisaient, les résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes et prévisions de Janssen Research & Development, LLC ou de toute autre société pharmaceutique Janssen et/ou de Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes comprennent, sans toutefois s’y limiter : les enjeux et incertitudes inhérents à la recherche et au développement de produits, y compris l’incertitude du succès clinique et de l’obtention des autorisations réglementaires, l’incertitude du succès commercial, les difficultés et retards de fabrication, la concurrence, y compris les progrès technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par des concurrents, les contestations de brevets, les préoccupations liées à l’efficacité ou à l’innocuité des produits entraînant le retrait de produits ou des mesures réglementaires, les modifications du comportement et des modes de dépense des consommateurs en matière de produits et services de santé, les modifications des lois et règlements applicables, notamment les réformes des systèmes de santé, ainsi que la tendance à la maîtrise des dépenses de santé. Une liste et une description plus détaillées de ces risques, incertitudes et autres facteurs figure dans le rapport annuel sur le formulaire 10-K de Johnson & Johnson pour l’exercice clos au 29 décembre 2019, notamment aux sections intitulées « Cautionary Note Regarding Forward-Looking Statements » et « Item 1A. Risk Factors », et dans le dernier rapport trimestriel de la société déposé sur le formulaire 10-Q, ainsi que dans les documents déposés ultérieurement par la société auprès de la Commission américaine des valeurs mobilières et boursières. Des copies de ces documents sont disponibles sur www.sec.gov, www.jnj.com ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Les sociétés pharmaceutiques Janssen et Johnson & Johnson ne s’engagent nullement à mettre à jour les déclarations prospectives à la suite de nouvelles informations ou d’événements ou développements futurs.

CP-201225

Date de prép. : janvier 2021

Références :

1 Sabari, J. et al. Amivantamab in Post-platinum EGFR Exon 20 Insertion Mutant Non-Small Cell Lung Cancer. Présentation orale #3031 au WCLC. Janvier 2021.

2 Riess JW, Gandar DR, Frampton GM, et al. Diverse EGFR Exon 20 insertions and co-occurring molecular alterations identified by comprehensive genomic profiling of NSCLC. J Thorac Oncolo. 2018;13(10):1560-1568. 10.1016/j.jtho.2018.06.019.

3 Vyse, S., Huang, P.H. Targeting EGFR exon 20 insertion mutations in non-small cell lung cancer. Sig Transduct Target Ther 4, 5 (2019).

4 Grugan et al. Fc-mediated activity of EGFR x c-Met bispecific antibody JNJ-61186372 enhanced killing of lung cancer cells MAbs. 2017;9(1):114-126.

5 Moores et al. A Novel Bispecific Antibody Targeting EGFR and cMet Is Effective against EGFR Inhibitor-Resistant Lung Tumors. Cancer Res. 2016;76(13)(suppl 27216193):3942-3953.

6 Yun et al. Antitumor Activity of Amivantamab (JNJ-61186372), an EGFR–MET Bispecific Antibody, in Diverse Models of EGFR Exon 20 Insertion–Driven NSCLC. Cancer Discov. 2020;10(8):1194-1209.

7 Vijayaraghavan et al. Amivantamab (JNJ-61186372), an Fc Enhanced EGFR/cMet Bispecific Antibody, Induces Receptor Downmodulation and Antitumor Activity by Monocyte/Macrophage Trogocytosis. Mol Cancer Ther. 2020;19(10):2044-2056.

8 Janssen soumet une demande à la FDA américaine pour l’autorisation de l’amivantamab dans le traitement de patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules métastatique avec mutations d’insertion de l’EGFR sur l’exon 20. https://www.jnj.com/janssen-submits-application-to-u-s-fda-seeking-approval-of-amivantamab-for-the-treatment-of-patients-with-metastatic-non-small-cell-lung-cancer-with-egfr-exon-20-insertion-mutations. Consulté en janvier 2021.

9 Janssen soumet une demande d’autorisation de mise sur le marché en Europe pour l’amivantamab dans le traitement de patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules métastatique avec mutations d’insertion de l’EGFR sur l’exon 20. https://www.janssen.com/janssen-submits-european-marketing-authorisation-application-amivantamab-treatment-patients. Consulté en janvier 2021.

10 Remon, J et al. EGFR exon 20 insertions in advanced non-small cell lung cancer: A new history begins. Cancer Treatment Reviews. 90 (2020).

11 Park, K. et al. Amivantamab, an Anti-EGFR-MET Bispecific Antibody, in Patients with EGFR Exon 20 Insertion-Mutated NSCLC. https://meetinglibrary.asco.org/record/184802/abstract. Consulté en janvier 2021.

12 Wee,P, Wang, Z. Epidermal Growth Factor Receptor Cell Proliferation Signaling Pathways. Cancers (Basel). 2017 May; 9(5): 52.

13 Hong, W. et al. Prognostic value of EGFR 19-del and 21-L858R mutations in patients with non-small cell lung cancer. Oncol Lett. 2019 Oct; 18(4): 3887–3895.

14Crossland V et al. HSR19-082: Epidemiological Findings and Outcomes in Non-Small Cell Lung Cancer Patients with Exon 20 Insertion Mutations: A Meta-Analysis. JNCCN 2019; 17(3.5): HSR19-08..

15 Feng Y et al. Exploratory analysis of introducing next-generation sequencing-based method to treatment-naive lung cancer patients J Thorac Dis 2018; 10(10): 5904–5912

16 Baumi, JM, et al. Underdiagnosis of EGFR Exon 20 Insertion Mutation Variants: Estimates from NGS-based Real World Datasets. Poster #3399 WCLC. Janvier 2021.

17 Girard N. et al. Comparative Clinical Outcomes for Patients with NSCLC Harboring EGFR Exon 20 Insertion Mutations and Common EGFR Mutations. Mini-présentation orale #3390 WCLC. Janvier 2021.

18 ClinicalTrials.gov. A Study of Amivantamab and Lazertinib Combination Therapy Versus Osimertinib in Locally Advanced or Metastatic Non-Small Cell Lung Cancer (MARIPOSA). Disponible sur : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04487080. Consulté en janvier 2021.

19 ClinicalTrials.gov. A Study of Combination Amivantamab and Carboplatin-Pemetrexed Therapy, Compared With Carboplatin-Pemetrexed, in Participants With Advanced or Metastatic Non-Small Cell Lung Cancer Characterized by Epidermal Growth Factor Receptor (EGFR) Exon 20 Insertions (PAPILLON). Disponible sur : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04538664?term=PAPILLON&cond=NSCLC&draw=2&rank=1. Consulté en janvier 2021.

20 Eisenhauer E.A. et al. New response evaluation criteria in solid tumours: Revised RECIST guideline (version 1.1). European Journal of Cancer. 2009. 45: 228 – 247

21 ClinicalTrials.gov. Study of JNJ-61186372, a Human Bispecific EGFR and cMet Antibody, in Participants With Advanced Non-Small Cell Lung Cancer. Disponible sur : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT02609776. Consulté en janvier 2021.

22 Ahn, J. et al. Lazertinib in patients with EGFR mutation-positive advanced non-small-cell lung cancer: results from the dose escalation and dose expansion parts of a first-in-human, open-label, multicentre, phase 1–2 study. Lancet Oncology. 2019. 20 (12): 1681-1690.

23 American Cancer Society. What is Lung Cancer? https://www.cancer.org/content/cancer/en/cancer/lung-cancer/about/what-is.html. Consulté en janvier 2021.

24 Globocan 2018. Europe factsheet. Disponible sur : https://gco.iarc.fr/today/data/factsheets/populations/908-europe-fact-sheets.pdf. Consulté en janvier 2021.

25 Lung Cancer Europe. LUCE Report on Lung Cancer: Challenges in lung cancer in Europe. 2016. Disponible sur : https://www.lungcancereuropes.eu/wp-content/uploads.2017/10/LuCE-Report-final.pdf Consulté en janvier 2021.

26 Zappa C et al. Non-small cell lung cancer: current treatment and future advances. Transl Lung Cancer Res 2016; 5(3): 288–300.

27 Zhang et al. The prevalence of EGFR mutation in patients with non-small cell lung cancer: a systematic review and meta-analysis. Oncotarget 2016. 7 (48): 78985 – 78993

28 Lin JJ, Cardarella S, Lydon CA, Dahlberg SE, Jackman DM, Jänne PA, et al. Five-Year Survival in EGFR-Mutant Metastatic Lung Adenocarcinoma Treated with EGFR-TKIs. J Thorac Oncol. 2016 Apr;11(4):556-65.

29 Howlader N, Noone AM, Krapcho M, Miller D, Brest A, Yu M, Ruhl J, Tatalovich Z, Mariotto A, Lewis DR, Chen HS, Feuer EJ, Cronin KA (eds). SEER Cancer Statistics Review, 1975-2016, National Cancer Institute. Bethesda, MD, https://seer.cancer.gov/csr/1975_2016/, sur la base des données du SEER de novembre 2018, publiées sur le site web du SEER.

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